Mon pauvre, tu viens de perdre quelqu'un qui ne regardais que toi.

Mais dis-moi, ça t'amuse de jouer avec mes sentiments, de savoir que je suis triste que mes larmes coule pour toi et tes beaux yeux ? Ca te fait sourire de savoir que mes rires ne sont que des souvenirs, que je n'ai plus le gout de vivre ni d'avancer, que je rester perdue dans la pénombre ? Que je coule petit à petit dans la profondeur des cieux qui me sont semblable à l'infini, que les secondes sans toi me sont semblables à l'éternité que j'espère pas réalité ? Tu te rends compte que quand tu es parti, tu as enlevé une partie de moi, la plus importante, que quand tu t'en allais je m'en suis jamais relevée ? Tu t'en fou de savoir à quel point je souffre, à quel point respirer devient une torture pour moi, tu m'as lâchement abandonnée sur le bord de cette route que je hais à présent. Tu m'ignores totalement et je n'ai plus aucun signe de vie de ta part, comme si tu m'étais inconnu et que je n'étais rien pour toi, que nous n'avions pas une longue histoire ensemble, mais dis-moi pourquoi t'as fait ça ? Expliques-moi au moins, je ne te demande que ce truc, m'expliquer pour que je puisse passer à autre chose, c'est si dur d'assumer tes actes ? T'es minable et pathétique, rien d'autre et ça faudrait que tu t'en rendes compte. Tu cours après ces putes qui sont à tes pieds parce qu’elles te trouvent beau et qu'elles sont populaire, mais mon pauvre, tu viens de perdre quelqu'un qui ne regardais que toi et non pas pour ton physique mais pour ce que tu étais. Et maintenant ? Vas crever.


Mon pauvre
Mon pauvre

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