Etre heureux
«Bien que l’on désire le bonheur, l’esprit, sous la confusion mentale, détruit son propre bien-être comme s’il s’agissait d’un ennemi.» – Nechung
On dit souvent qu’il est difficile d’être heureux. Or, c’est l’une des choses les plus faciles qui soient, en réalité. Il suffit, par exemple, de penser un instant à ce qui se passe bien dans notre vie… Ou de baigner dans l’amour que l’on ressent pour nos enfants… Ou encore simplement de calmer notre mental et de respirer profondément. On pourrait même extraire du bonheur d’une chose aussi banale que notre verre d’eau, si on le voulait (en savourant pleinement chaque gorgée, ou en prenant conscience de la chance que l’on a d’avoir aussi facilement accès à ce fluide de vie). En fin de compte, le bonheur est aussi accessible que l’air sous notre nez.
Être heureux – ou être de plus en plus heureux – est donc super ultra facile. Ce qui est difficile, est de vouloir l’être. Oui, ce qui peut être incroyablement ardu est de vouloir diriger notre attention vers ce qui se passe bien dans notre vie, de vouloir baigner dans un état d’amour, de vouloir prendre de grandes respirations, plutôt que de se contracter. Car dès le moment où on veut vraiment mettre notre bien-être en priorité, c’est un jeu d’enfant.
Pouvez-vous sentir à quel point cette distinction est significative et puissante?
Évidemment, on veut tous être heureux, en théorie. Qui déclarerait le contraire? Or, il se trouve que l’on a accumulé de nombreuses résistances à l’allégresse et à la légèreté, au fil du temps. On a appris que notre vie ne pouvait pas aller trop bien, qu’il y a un certain niveau limite de bonheur qu’on ne devait pas dépasser, par exemple. Où on a appris qu’être intensément joyeux nous rend plus vulnérables à la souffrance. Ou on peut avoir accepté l’idée qu’être tourmenté est un signe de profondeur. Ou que le stress aide à faire avancer les choses dans la bonne direction. Oh, on reconnaît généralement que ces idées sont irrationnelles… mais elles ont néanmoins le dernier mot, bien souvent. Elles nous amènent à nous refuser ce que l’on désire le plus au monde, souvent sans même qu’on en soit conscient.
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Évidemment, on veut tous être heureux, en théorie. Qui déclarerait le contraire? Or, il se trouve que l’on a accumulé de nombreuses résistances à l’allégresse et à la légèreté, au fil du temps. On a appris que notre vie ne pouvait pas aller trop bien, qu’il y a un certain niveau limite de bonheur qu’on ne devait pas dépasser, par exemple. Où on a appris qu’être intensément joyeux nous rend plus vulnérables à la souffrance. Ou on peut avoir accepté l’idée qu’être tourmenté est un signe de profondeur. Ou que le stress aide à faire avancer les choses dans la bonne direction. Oh, on reconnaît généralement que ces idées sont irrationnelles… mais elles ont néanmoins le dernier mot, bien souvent. Elles nous amènent à nous refuser ce que l’on désire le plus au monde, souvent sans même qu’on en soit conscient.
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