Texte d'une fan
Je ne sais pas si tu liras ce texte, mais j'ai comme le besoin de l'écrire, j'avais besoin de m'exprimer. Je suis dehors, j'ai préféré m'enfuir de chez moi, je ne me sent pas a ma place dans ce monde.
Il fais froid, on rentre dans l'hiver. Le soleil laisse place a la nuit, et ma joie laisse place a la tristesse.
Je commencée a t'oublier, puis, tu m'est revenue en pleine tête, c'est le jour ou j'ai vu une photo de toi et elle, une autre fille. Tu ne peux juste pas savoir ce que je ressentais a ce moment la, j'avais envie de tout envoyé en l'air, j'avais envie de me flinguer.
Tu sais, je me sent vide, incomplète. Comme un couteau sans lame. Comme un flingue sans balle. Depuis que tu m'as laissée j'ai la triste impression que finalement l'amour n'est que haine, rancoeur et tristesse. Je suis dépourvu de tout sentiments joyeux. J'arrive plus a sourire ni même a rigoler. Ou alors je fais semblant.
Tu penses que j'exagére ? Ecoute. Tu vois, depuis que tu m'a laissé, j'ai tout foutu en l'air. A commencé par ma vie. Ouais. J'ai jouée, j'ai fais la gamine, celle que j'étais avant de te rencontrée, j'ai encore jouée avec le feu, jouer avec la mort. Depuis que tu m'a laissé, j'ai plus goût a rien. Je monte plus a cheval, je chante plus, je ne joue même plus de la guitare.
Encore autre chose. Tu detesté que je fume ? Que je m'attache les cheveux ? Que je les lisses ? Que je me taillades les poignets ? Tu vas rire mais. Je fumes a m'en exploser les poumon. Je ne lache jamais mes cheveux et ils ne sont jamais bouclés, et quand a mes poignets, mieux vaut ne pas en parler. De toute façon tu t'en fou a ce que je vois. Alors que je continue ou que j'arréte ça ne changera rien.
Tu te souviens de nous ? De notre premier baiser ? Du premier mot que j'ai prononcée a ton égard ? Non. Pourtant tu disais que j'étais parfaite. Que des belles paroles. Je t'ai fais confiance. Tu m'a trahis. Abandonnée. Tu savais trés bien que j'étais fragile, que je sortais de quelque chose de difficile, que j'avais une santé en papier ? Tu as jouer avec moi, avec mes sentiments, avec mon coeur, avec ma vie. Je t'ai laissé faire, j'étais amoureuse.
" Non Loriane, je t'aime, je ne laisserais jamais personne te faire du mal. "
J'aurais dû te gifler a ce moment plutôt que de t'embrasser.
Il fais froid, on rentre dans l'hiver. Le soleil laisse place a la nuit, et ma joie laisse place a la tristesse.
Je commencée a t'oublier, puis, tu m'est revenue en pleine tête, c'est le jour ou j'ai vu une photo de toi et elle, une autre fille. Tu ne peux juste pas savoir ce que je ressentais a ce moment la, j'avais envie de tout envoyé en l'air, j'avais envie de me flinguer.
Tu sais, je me sent vide, incomplète. Comme un couteau sans lame. Comme un flingue sans balle. Depuis que tu m'as laissée j'ai la triste impression que finalement l'amour n'est que haine, rancoeur et tristesse. Je suis dépourvu de tout sentiments joyeux. J'arrive plus a sourire ni même a rigoler. Ou alors je fais semblant.
Tu penses que j'exagére ? Ecoute. Tu vois, depuis que tu m'a laissé, j'ai tout foutu en l'air. A commencé par ma vie. Ouais. J'ai jouée, j'ai fais la gamine, celle que j'étais avant de te rencontrée, j'ai encore jouée avec le feu, jouer avec la mort. Depuis que tu m'a laissé, j'ai plus goût a rien. Je monte plus a cheval, je chante plus, je ne joue même plus de la guitare.
Encore autre chose. Tu detesté que je fume ? Que je m'attache les cheveux ? Que je les lisses ? Que je me taillades les poignets ? Tu vas rire mais. Je fumes a m'en exploser les poumon. Je ne lache jamais mes cheveux et ils ne sont jamais bouclés, et quand a mes poignets, mieux vaut ne pas en parler. De toute façon tu t'en fou a ce que je vois. Alors que je continue ou que j'arréte ça ne changera rien.
Tu te souviens de nous ? De notre premier baiser ? Du premier mot que j'ai prononcée a ton égard ? Non. Pourtant tu disais que j'étais parfaite. Que des belles paroles. Je t'ai fais confiance. Tu m'a trahis. Abandonnée. Tu savais trés bien que j'étais fragile, que je sortais de quelque chose de difficile, que j'avais une santé en papier ? Tu as jouer avec moi, avec mes sentiments, avec mon coeur, avec ma vie. Je t'ai laissé faire, j'étais amoureuse.
" Non Loriane, je t'aime, je ne laisserais jamais personne te faire du mal. "
J'aurais dû te gifler a ce moment plutôt que de t'embrasser.
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